«Entrez dans le Cirque de ces mirages fascinants, qui se chantent, se miment, se racontent et se jouent de nous, en nous plantant dans la tête mille images étourdissantes ! » 

Télérama

« Delusion Club »

Le Cirque des Mirages revient avec un nouveau tour de chant, droit inspiré des bas-fonds du songe.

Par une nuit qu’on imagine froide et brumeuse, au fond d’une ruelle forcément mal éclairée où vos pas vous ont conduit, comme mus par une volonté qui leur est propre, vous poussez un peu par hasard une porte mystérieuse d’où s’échappent des sons singuliers. Notes de piano égrenées comme autant de gouttes de poison, voix grave, suave, vénéneuse, clair obscur inquiétant. L’atmosphère est étrange.
Bienvenue au Delusion Club !
Entrez dans le Delusion Club, un cabaret-théâtre qui défie nos sens et bouscule nos habitudes !

Dans ce nouvel opus, Parker et Yanowski, nous convient dans leur « Delusion club », cénacle très fermé où se jouent des expériences poétiques des plus licencieuses.
Tour à tour conteur inquiétant et chanteur envoûtant, Yanowski se déploie dans une gestuelle saisissante. Au piano, Fred Parker martèle une étrange rythmique avec une précision de métronome.
Écrivains hallucinés, poètes assassins, voyageurs sans bagage, de chansons en histoires, vous découvrirez alors un cortège de personnages décalés dont le point commun est de participer à la marche boiteuse du monde.
Car au-delà des apparences, d’illusions en désillusions, c’est la fragilité de notre condition humaine que Le Cirque des Mirages donne à voir, à la fois convaincu que le rêve des hommes se heurte toujours inexorablement à la réalité, mais que paradoxalement, notre réalité est faite de la même matière que les rêves…

Yanowski – voix / Fred Parker – piano.

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